La version 2 du logiciel vient avec un joli lot de rafraîchissements à commencer par une interface plus simple à appréhender et, il faut le dire, relativement plus jolie.
Le 64 bits est désormais de la fête (analyse, détection et élimination) tandis que le Site Web Protection a été amélioré et intègre de nouvelles options.
Enfin notons que la version Premium du logiciel intègre désormais Malwarebytes Chameleon, un pilote d'auto-protection du système.
Le fort bien nommé Malwarebytes Anti-Malware vous permettra d'éradiquer activement les malwares infectant vos machines. L'interface assez simpliste se décompose en neuf onglets ; recherche, protection, mise à jour, quarantaine, rapports, exclusions, paramètres, autres outils. Vous disposerez de deux méthodes d'analyse plutôt véloces ; un examen rapide scannant votre système avec une base de détection réduite et un examen complet analysant minutieusement l'ensemble de vos périphériques de stockage.
L'exploration approfondie et heuristique de votre machine passera du registre aux systèmes de fichiers ou encore par les processus chargés en mémoire. Dans le cas où vous souhaiteriez accélérer l'opération d'analyse, vous serez à même de désactiver certains examens en vous rendant sur l'onglet Paramètres. Un module de mise à jour de base de données, contenant à ce jour 32319 signatures, assurera une protection fiable et actualisée quasi quotidiennement. Après chaque scan, Malwarebytes générera automatiquement un rapport d'analyse détaillé au format .txt stocké par ordre chronologique dans le tiroir Rapport/Logs. Plutôt complet il intègre, aussi, un outil pratique dans la même optique qu' unlocker, qui débloquera les processus empêchant la suppression d'un fichier récalcitrant.
Limitations de la version d'évaluation : Cette application gratuite possède un module de protection en temps réel, utile pour arrêter les menaces avant infection. Malheureusement, l'expression " mieux vaut prévenir que guérir " fera partie de votre quotidien, uniquement après l'achat de la version Pro.
